Islande
Ile de feu et de glace. Les contrastes sont saisissants et les paysages grandioses. En automne les couleurs sont chaudes bien que le froid en ce début octobre 2024 oscille entre -5° et +5°.

L’impressionnante activité souterraine alimente le pays en énergie et se découvre un peu partout par des fumerolles, des sources chaudes, de nombreux volcans.
A quelques kilomètres de là les glaciers sont facilement accessibles et ne demandent pas de longues marches d’approches périlleuses.
Un réseau tentaculaire de cours d’eau recouvre l’île. Rivières, cascades, lacs sont légions.
Reykjavik, capitale de l’Islande, se visite aisément. Ses maisons colorées, son port et ses monuments emblématiques sont un régal pour les yeux. Bien que devenue très touristique, les islandais sont très accueillants.
Quelques petites curiosités.
Et bien sûr le spectacle féérique des aurores boréales très actives la nuit.
Littoral
Calais, ville, port, plage tout en haut de notre hexagone aligne ses petites cabanes blanches face au large comme autant de fenêtres qui regardent passer les ferries.

Le Tréport-Mers les bains sous un ciel chargé et une lumière éteinte crée une ambiance nostalgique.

Vers le pays minier
Le mémorial canadien domine le bassin minier lensois pour nous rappeler combien de soldats de l’alliance sont morts pour que nous soyons libres.
Bois, racine
En hiver le bois des arbres apparait de façon plus évidente. Leur structure nous dévoile leur vigueur, leur souffrance, leur attente peut-être. Ils font partie de notre paysage qu’ils façonnent de manière plus ou moins cachée.

Automne
La forêt de Roisin en Belgique se pare de mille écus dès que l’été s’éloigne. Les feuilles craquent sous les pas et celles encore accrochées aux branches brillent de mille feux à l’apparition du soleil.
Mont Saint-Eloi
De l’ancienne abbaye Saint-Eloi ne subsiste qu’une façade majestueuse en l’état de ruine. Elle se voit de très loin sur son promontoire et malgré ses modestes restes elle semble encore veiller sur toute la campagne environnante.